Projet EAC – La science au service de l’archéologie

 

Éducation artistique et culturelle – classe de 5A

Enquête archéologique

Photo prise par SKY ACTIVITY

Sommaire

  1. Cap Archéo
    1. Les fouilles
    2. La reconstitution du site
  2. Identification d’une poudre retrouvée sur des fouilles datant du Moyen-Age
  3. Fabrication d’un fard du Moyen-Age
  4. Intervention d’Arthur Lecq, thésard en archéologie
  5. L’abbaye de La Sauve-Majeure
  6. Le survol du site de la Sauve Majeure par un drone
  7. Bibliographie

 

1) Cap’Archéo

Reportage sur le déroulement d’une fouille :

https://my.pcloud.com/publink/show?code=XZHYVN7ZrEkRW23o9ISrIBprfUq5kYN6DGKX

Timéo, Paul et Hugo

a- les fouilles

Comment ça marche ?

À vos outils !

Avant de commencer les fouilles nous devons prendre les outils suivant :

    • une pelle

    • un pinceau

    • un seau

Les règles

Pour aller sur notre carré de fouille avec notre pelle, nos pinceaux et notre seau, nous passons par des petits ponts en métal pour ne pas écraser nos vestiges.

Afin de ne pas abîmer les objets trouvés il ne faut pas planter la pelle brusquement. Il faut avec le pinceau pousser le sable dans la pelle.

Commençons

  • Pour commencer nous allons rejoindre notre lieu de travail.

  • Nous allons commencer à fouiller pour enlever la couche de sable qui recouvre les vestiges. Nous posons la pelle sur le sol, doucement et avec notre pinceau nous poussons le sable dans la pelle. Nous trouvons des vestiges précieux pour l’histoire de la place Saint Projet. Et oui, la fameuse place Saint Projet à l’intersection de la rue Sainte Catherine et de la rue des Trois Conils.

  • À chaque vestige nous l’indiquons sur une feuille.

  • Après avoir fini notre fouille, nous avons vidé le sable dans un seau avec un grillage très peu écarté pour ne pas avoir oublié de vestiges. Puis nos objets précieux ont été envoyés au laboratoire pour être examinés.

Nous avons trouvé du gravier des os et des pierres. Extrait de la feuille de fouille.

Nous sommes en train de mettre le sable dans la pelle. Photo R. Primout

Ce que nous avons aimé

  • apprendre les différentes techniques de fouille

  • découvrir des vestiges

Enzo P et Jules

Qu’avons-nous trouvé ?

Photo R. Primout

Pendant les fouilles, nous avons découvert : des morceaux de poteries, des os, des mosaïques et ce qui semble être les restes d’une maison. Nous avons fouillé avec des pinceaux pour mettre le sable dans la pelle. Une fois le sable dans la pelle nous l’avons mis dans un seau. Tout le sable qui était dans le seau nous l’avons versé dans un grand seau qui avait une sorte de passoire au dessus. Cela nous aidait à voir si nous n’avions rien mis dans le seau comme des bouts de poteries ou encore pleins d’autres choses importantes pour la suite de notre recherche. Après tout ceci nous avons eu une feuille pour mettre les dates et tout autre renseignement de notre fouille lorsque nous allions rendre nos découvertes au chercheur. Nous avons eu des questions sur nos fouilles et nous y avons répondu, nous sommes fiers de notre travail.

Alexis et Edwige

b- la reconstitution du site

Nous avons pris toutes les feuilles de fouilles que nous avions remplies.

Nous les avons réunies en respectant leur position, comme à la bataille navale, le chantier de fouille est divisé en mêtre carré nommé par des lettres et des chiffres :

A1 A2 A3 A4

B1 B2 B3 B4

C1 C2 C3 C4

etc

Nous avons regardé sur chacune leur orientation afin de toutes les disposer vers le nord. Nous avons alors compris pourquoi nous avions mis les indications du nord, du secteur, du carré et de la couche stratigraphique sur chaque feuille.

Nous avons ainsi reconstitué le site et l’avons analysé :

  • présence d’une maison :

      • présence de murs

      • présence d’un foyer : débris d’os, pierres calcinées

  • présence d’un écoulement d’eau

  • présence d’une sépulture

  • présence d’un cimetière, et de fondations semblant correspondre à une église.

Nous avons pu dater le site d’après les matériaux présents, mais surtout grâce à la présence de la sépulture, indiquant la présence d’un cimetière et aux fondations d’un pan d’une église (car à l’époque les cimetières étaient dépendants d’une église). La proximité de l’église et de la maison nous confirme l’étalement de la ville de Bordeaux, qui se développe au Moyen Âge. De plus, ces vestiges se situent sous plusieurs couches d’autres matériaux, ce qui nous confirme qu’elle est ancienne. En effet, plus la couche fouillée est en profondeur, plus elle est ancienne. Le site date du Moyen-Âge.

c- la reconstitution de la poterie

Photo R. Primout

Sur le lieu de fouille, nous avons retrouvé des morceaux de poteries et nous les avons reconstituées à l’aide d’une fiche méthode. Pour cela, nous avons utilisé du scotch et nos mains. Une fois nos poteries terminées nous avons complété une fiche de renseignement contenant le contexte archéologique, conservation, éléments technologiques, éléments morphologiques, éléments stylistiques, classification, éléments chronologiques et culturels. Après avoir rempli cette feuille nous l’avons rendu à l’une des deux intervenantes qui s’occupe de Cap’Archeo.

Nos impressions

  • Reconstituer des poteries est difficile et long mais instructif et ludique.
  • Trouver autant d’objets différents dans le chantier de fouille.
  • Il faut utiliser une brosse à dent pour nettoyer les objets.
  • Nous avons bien apprécié même si certains moments étaient moins intéressants que d’autres. Cette sortie a été une chance pour nous car nous avons pu apprendre beaucoup de choses.
  • Ce qui nous a étonné est le fait de déduire des choses à partir de vestiges.
  • La position pour fouiller est inconfortable.

Alexis et Edwige

Ce que nous avons appris

  • La reconstitution de poteries est un travail où l’on doit se montrer méticuleux et concentré.
  • Nous avons appris que les poteries étaient en céramique.
  • Nous avons pu identifier les poteries et les dater.
  • Plus c’est profond, plus c’est ancien.
  • La différence entre un archéologue et un paléontologue.
  • Nous avons aussi pu constater qu’il y avait plusieurs styles de poteries : certaines ressemblaient à des bols et d’autres à des vases ou des pichets. Quelques unes avaient de la glaçure verte.
  • La place Saint Projet à Bordeaux existe depuis longtemps, la Protohistoire, et que Bordeaux s’est agrandi au fil du temps.

Elouan et Benjamin

 

2) identification d’une poudre retrouvée sur des fouilles datant du Moyen-Âge

Nous devions identifier une poudre trouvée sur un site de fouilles datant du Moyen-Âge. Nous avons procédé comme cela :

  • Nous avons observé sa réaction avec différents produits (farine, bicarbonate, blanc de Meudon, kaolin, plâtre)
  • Nous avons pris en compte sa texture, son odeur, sa surface …

Ensuite, nous observons que la réaction de la farine avec l’eau donne une pâte. Avec le vinaigre, nous pouvons voir que ce dernier glisse sur la farine.

Alors qu’avec le bicarbonate, quand il est en contact avec l’eau, celle ci est absorbée. Contrairement à la farine, le vinaigre mélangé au bicarbonate fait des bulles.

Tests réalisés

tests

farine

kaolin

blanc de Meudon

bicarbonate

Poudre mystère

vue

très fin

grains fins et granuleux

fin

fin

fin

odorat

blé

terre

*

*

*

toucher

doux

léger

sec

comme du sel

sec

réaction à l’eau

pâteux

pâteux

une pâte

absorbe l’eau

une pâte

réaction au vinaigre

glisse

glisse

formation d’un gaz

formation d’un gaz

formation d’un gaz

Nous avons comparé les différentes caractéristiques des poudres

tests

farine

kaolin

blanc de Meudon

bicarbonate

Poudre mystère

vue

très fin

grains fins et granuleux

fin

fin

fin

odorat

blé

terre

*

*

*

toucher

doux

léger

sec

comme du sel

sec

réaction à l’eau

pâteux

pâteux

une pâte

Il est plus lourd que l’eau

une pâte

réaction au vinaigre

glisse

glisse

formation d’un gaz

formation d’un gaz

formation d’un gaz

Conclusion :

La poudre mystère correspond aux critères du plâtre.

Nous en avons conclu que c’était du blanc de Meudon.

Lévie et Zoran

3) fabrication d’un fard du Moyen-Âge

Nous devions identifier une poudre trouvée sur un site archéologique datant du Moyen-Âge. Pour cela nous avons dû faire des expériences sur plusieurs poudres (farine, bicarbonate de soude, blanc de Meudon, kaolin et plâtre ou gypse.)

Nous avons mélangé plusieurs ingrédients liquides avec ces poudres, pour en arriver à la conclusion : cette poudre est du blanc de Meudon. Il était utilisé au Moyen-Âge pour fabriquer les fards.

Qu’est ce qu’un fard ?

C’est une poudre qui peut être de différentes couleurs, et que l’on applique sur la peau. Cela sert à se maquiller.

Comment fabriquer un fard ?

  1. Faire tremper pendant une nuit 10g de racine de Garance séchées et écrasées dans 500mL d’eau froide.

  2. Filtrer la préparation à l’aide d’une passoire et récupérer le liquide qui contient les colorants extraits de la racine.

Filtration. Photo R. Primout

  1. Déposer 10g de blanc de Meudon dans un récipient creux et haut.

  2. Verser 50mL de l’extrait de racine de Garance sur le Blanc de Meudon, tout en mélangeant bien.

  3. Mélanger à nouveau et laisser reposer.

  4. À l’aide d’un filtre et d’un entonnoir, filtrer la préparation.

  5. Faire sécher le papier filtre. Une fois sec, gratter le papier afin de récupérer la poudre.

Tests de texture. Photo R. Primout

Comment améliorer la texture du fard ?

Un “liant” donne au produit une texture qui lui permet d’adhérer à la peau. Comme liant, nous avons pris de l’huile d’olive :

  • mélanger unedose de poudre rose préalablement préparée acec 0, 1, 2, 3, puis 4 gouttes d’huile d’olive
  • prélever un peu de chaque produit à l’aide d’un stylet et l’appliquer sur la main.

Observations sur la texture du fard

  • À l’aide d’une goutte d’huile, la texture était légèrement granuleuse, la couleur était rose

  • À l’aide de deux gouttes, la texture était douce, la couleur moins rosée.

  • À l’aide de trois gouttes, la texture était douce mais moins qu’avec deux, la couleur : rose pâle.

  • À l’aide de quatre gouttes, comme avec trois gouttes, et la couleur est pâle.

  • À l’aide de cinq gouttes, moins douce que les autres, et beaucoup plus pâle.

De notre point de vue, la poudre la plus douce était quand l’on mettait deux gouttes d’huile d’olive.

 

Coralie et Shana

4) intervention d’Arthur Lecq, thésard en archéologie

Capsule réalisée à partir de l’interview d’Arthur Lecq et des photos prises lors de la visite de Cap’Archéo :

https://my.pcloud.com/publink/show?code=XZCh5N7ZVuPcN9a9cg4o0q4pxC14K84SYmVX

Eva Andréa

Ce qui nous a étonné

  • La complexité du métier d’archéologue à travers les différents postes à étudier. Il faut savoir l’histoire du passé des vestiges, objets, civilisations, d’où cela venait, à quoi cela servait, il datait de quand, il se situait où …

  • La durée d’une fouille qui est très variable : de trois semaine à dix ans.

Ce que nous avons appris

  • L’archéologie ce n’est pas seulement fouiller, chercher ou trouver des vestiges, c’est aussi analyser et dater les vestiges, les observer et découvrir leur histoire, savoir à quoi ils servaient.
  • L’archéologue n’est pas obligé de se déplacer jusqu’à la fouille.
  • Certains objets vont dans les musées, les autres sont stockés dans des bâtiments prévus pour.
  • Il faut être très minutieux pour être archéologue.
  • Grâce à des appareils, nous pouvons voir différents rayonnements des tableaux, images, peintures, … pour voir des éléments qui n’aparaissent pas avec les couleurs originales.
  • Il faut une bonne capacité physique pour faire des fouilles.
  • Les archéologues utilisent des logiciels simples comme “google maps”.
  • Le métier d’archéologue est un métier intéressant et passionnant, cela nous permet d’en connaître davantage sur la civilisation du monde passé.

5) l’abbaye de la Sauve-Majeure

Diaporama réalisé à partir des photos prises lors de la visite de la Sauve-Majeure :

https://my.pcloud.com/publink/show?code=XZUQVN7Z5AwAxjWEvGmMCu5xDQrk8LAE3MuV

Photos prises par Lucciana et diaporama réalisé par Lucciana

L’Abbaye de la Sauve-Majeure est un ancien établissement devenue en 1079 par le duc d’Aquitaine et Gérard de Corbie une abbaye, classée en décembre 1998 au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Située à 25 km de Bordeaux, autour d’une grande prairie et de beaux arbres, célèbre pour ces chapiteaux, ses vestiges et ses sculptures.

Photo issue du site : www.bordeaux-tourisme.com

Un chapiteau sert à raconter une histoire à travers des sculptures car peu de citoyens français savaient lire, écrire ou parler latin lorsque l’abbaye a été construite.

Structurae [fr]: Image-ID:43852

Photo : https://files1.structurae.de/files/photos/64/la_sauve/dscf0169.jpg

L’abbaye possédait une bibliothèque. Elle ne contenait pas beaucoup de livres car ils coûtaient très cher et prenaient un certain temps à recopier, seuls les nobles pouvaient s’en procurer. Les livres étaient écrits en latin et ils étaient recopiés par les moines.

Bertille et Lou

6) le survol du site de la Sauve-Majeure par un drone

Les drones, la loi, le droit à l’image

Un drone

Un drone est un engin volant sans pilote à bord. Il en existe de toutes sortes. Il peut être commandé à distance ou voler seul grâce à un ordinateur installé à bord.

Le rôle d’un drone

Un drone sert à faire des photos et des vidéos, sur par exemple, des propriétés à vendre ou à louer ainsi qu’à permettre l’étude de sites archéologiques.

Vue d’un drone sur un terrain archéologique https://latitude-drone.com/wp-content/uploads/2017/01/latitude-drone-archeo-1.jpg

Les drones et la loi (image : https://s2.qwant.com/thumbr/0x380/)

  1. je ne dois pas survoler des personnes de près en vol de drone, les hélices sont dangereuses et peuvent blesser

  2. Je dois respecter la hauteur de vol d’un drone qui est de 150m

  3. Je ne perds pas mon drone de vue

  4. il est interdit de faire voler un drone durant la nuit

  5. il est interdit de faire voler son drone au-dessus d’un espace public en agglomération

  6. je ne pilote pas mon drone à proximité d’aéroports ou d’aérodromes, on ne survole pas de lieu destiné à l’aviation

  7. je ne survole pas des sites sensibles ou protégés

  8. je n’utilise pas la caméra du drone pour nuire à la vie privé d’autrui

  9. je vérifie dans quelles conditions je suis assuré pour la pratique de cette activité

Elsa, Alixe et Marilou

Les règles du droit à l’image (caméra drone) et diffusion des images (Image : https://fr.ubergizmo.com)

Avant de faire décoller votre drone et commencer à réaliser des prises de vues, il y a quelques règles et droits à respecter. À savoir que vous ne pouvez filmer ou photographier ce que vous souhaitez et ne pouvez faire voler votre aéronef n’importe où !

La législation est complexe sur le droit à l’image qui s’applique sur les personnes mais aussi les biens, les œuvres d’art ou architectural, le patrimoine Français, etc.

Droit à l’image des personne

Chaque personne dispose d’un droit sur son image et peut en interdire sa diffusion, même si le drone a pris l’image sur un lieu public, si la personne est identifiable sur la photo elle devra donner son accord, de plus il est interdit de représenter des personnes mineures (sauf accord de leurs responsables légaux).

La protection de l’image s’applique à tout le monde, elle peut être différente si la photographie ou la vidéo a été réalisée dans un lieu privée ou publique, comme un concert, un événement sportif ou culturel.

Le droit à l’image est donc différent selon le lieu de la prise de vue et si la personne filmée ou photographiée est le sujet principal de la photo ou fait partie d’un groupe de personnes et n’est pas spécialement visible.

L’utilisation et la diffusion d’image portant atteinte à la dignité est interdite et sanctionnée (1 ans de prison et 45 000 euros d’amende).

Droit à l’image des biens

Il est important de se renseigner avant de filmer ou photographier un bien, les droits sont différents si le bien est le sujet principal de la photographie ou s’il fait partie du décor.

Photographier une maison de la voie publique est possible sous réserve que cette publication ne cause pas un « trouble anormal » au propriétaire, par contre si la maison est l’œuvre d’un architecte ou contient une sculpture protégée par le droit d’auteur (valable 70 ans après le décès de l’auteur), il sera interdit de la photographier.

Autre exemple il est possible de photographier la Tour Eiffel, mais pas les éclairages qui l’illumine la nuit, qui sont une création artistique et donc protégés par le droit d’auteur, prendre une photo de la Tour Eiffel est possible de jour (sans voir le système d’éclairage) et interdit de nuit.

Pour le patrimoine Français, il semble n’y avoir aucune règle et le droit à l’image d’un monument ou d’un bâtiment public peut faire l’objet d’une réglementation, il conviendra d’être prudent et de demander l’autorisation au propriétaire du bien.

Le respect à la vie privée

Chaque citoyen a le droit au respect de sa vie privée, ce droit inscrit dans le code civil depuis la loi du 17 juillet 1970, il le protège dans de nombreuses situations, à son domicile, mais aussi sur internet, c’est une protection de son intimité et de son image.

Il est interdit de photographier ou filmer une personne à son insu que ce soit dans un lieu public ou privé, de pénétrer sans autorisation dans une propriété privée et de diffuser des images volées.

L’utilisation de vidéos ou photos dans un cadre privé est tolérée à condition qu’elle respecte la vie privée des personnes et des biens, leurs partages sur internet ne pouvant être fait sans l’accord des propriétaires et des personnes.

L’exploitation des vidéos ou photographies aériennes, dans un cadre commercial est réservé exclusivement aux professionnels déclarés à la DGAC ( Direction Générale de l’Aviation Civile) et détenant une autorisation auprès de la préfecture.

Zoé B et Zoé L

Le survol du site de la Sauve-Majeure par le drone

Avec un drone nous avons pris des photos de l’abbaye de la Sauve -Majeure.

Grâce à un logiciel nous pouvons distinguer les différences d’altitudes :

Levé aérien réalisé par SKYACTIVITY Traitemement sous métahsape / Meslhbab par ITPDRONE

Levé aérien réalisé par SKYACTIVITY Traitemement sous métahsape / Meslhbab par ITPDRONE

Elsa, Alixe et Marilou

Reconstitution du site de la Sauve-majeure à partir des photos prises par le drone :

A partir des images obtenues lors du survol de l’abbaye, nous avons cherché à combler les parties manquantes de l’édifice (essentiellement les voûtes et toitures, mais aussi des pans de murs). La reconstitution devient alors un support de travail sur lequel nous avons redessiné les contours, puis colorié l’ensemble afin de lui redonné son apparence médiévale.

reconstitution ci-dessus faite par Zoé B

reconstitution ci-dessous faite par Lou

reconstitution ci-dessus faite par Lucciana

Levé aérien réalisé par SKYACTIVITY Traitemement sous métahsape / Meslhbab par ITPDRONE

Bibliographie

David Jasmin, Elsa VAN ELSLANDE. Les flacons mystérieux [en ligne]. In : La main à la pâte. 2013, février. Disponible sur :

<http://www.fondation-lamap.org/fr/page/16848/les-flacons-mysterieux> (Consulté en juin 2018)

 

Remerciements

à nos professeures : Mme Adriensence (littérature), Mme Cadaugade (technologie), Mme Martin-Mottez (histoire) et Mme Primout (chimie)

au documentaliste : M. Pucheu-Planté

aux professionnels de SKY ACTIVITY et d’ITPDrone

aux médiatrices de Cap’Archéo

aux chercheur et thésard de l’IRAMAT (Institut de recherche sur les Archéomatériaux)

au Conseil départemental de la Gironde

à la DRAC (Délégation régionale des affaires culturelles du ministère de la culture de la Nouvelle-Aquitaine),

à AEROCAMPUS Aquitaine et son campus des métiers et des qualifications

et à la DAAC (Délégation à l’action artistique et culturelle du rectorat).

 

 

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